la valkyrie décolorée taquine la défroque,
sous ses coulures expertes elle élucide dix commentateurs ;
au pas de l’oie le lécheur réalise un full strike
en Armani cogitatif il structure ses pointes acérées
qu’il réserve aux insonorisations en chambre
la râpe sert à démembrer sans anesthésie, avec un sourire de pro
il faut servir la vie en verrue, mais pas avariée:
la pornographier, la moisir, sans placière, le simulacre fait blutage,
tout absorbé dans la fricoteuse
des coupes franches de sa vigneronne godot.
la fantaisie ne garantit pas la francophilie de la vie mise en scission,
mais expose, faïence gin, de périoste en fils, les [….]
et les décoctions du desserrage
(nourri au flou, le devoir pousse à l’offensive);
le sociopathe s’associe à l’édulcoré; poste restante
(o lucide, la dévote anesthésiée tire plus vite que son ombre)
l’absorption des couques se fait par indéfrisable et déclenche
des poteaux épistoliers qui rééquilibrent des gnons irrépressibles.
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mánudagur, 8. september 2008
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